Extrait tiré de : Mademoiselle de Morville, Bijou du Parnasse, 1670
Extrait proposé par : Edwige Keller-Rahbé
L’extrait ci-dessous est présenté dans cette vidéo réalisée pour le projet Vidéos-poétesses17 en licence 3 de lettres modernes à l’université Lyon 2 durant l’année universitaire 2018-2019, disponible sur le site web de Matilda.
Tu romps aveque moi sans peine,
Et ton âme inconstante et vaine
Croit que mon cœur peut-être en est fort mécontent :
Mais désabuse-toi si la chose est possible,
Quand on ne perd qu’un inconstant,
La douleur n’est pas trop sensible.